Qui mieux que Guy de Maupassant dans “Une vie” aura décrit les calanques de Piana : “C’étaient des pics, des colonnes, des clochetons, des figures surprenantes modélées par le temps, le vent rongeur et la brume de mer.
Hauts jusqu’à trois cent mètres, minces, rons, tordus, crochus, difformes, imprévus, ces surprenants rochers semblaient des arbres, des plantes, des bêtes, des monuments, des moines en robe, des diables cornus, des oiseaux démesurés, tout un peuple monstrueux, une ménagerie de cauchemard pétrifié par le vouloir de quelque Dieu extravagant”.